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Le syndrome du côlon irritable n’est pas une nouvelle maladieUne maladie aux multiples visagesLes causes possibles de la perméabilité intestinaleMythes et réalitésQu'est-ce qui caractérise une probiotique de qualité?Nos resultats de testMystérieux trouble intestinal dont les causes sont longtemps restées inconnues, le syndrome du côlon irritable est de plus en plus diagnostiqué ces dernières années. Des millions de Français souffrent de diarrhées récurrentes, souvent associées à des douleurs abdominales et des ballonnements, parfois même de la constipation.
Alors que les personnes concernées cherchent de l’aide, les entreprises pharmaceutiques font une promotion agressive de leurs produits censés soulager le syndrome du côlon irritable. Mais tiennent-ils vraiment leurs promesses ? Nos experts les ont testés pour vous.
En résumé
- Le syndrome du côlon irritable est une maladie très répandue qui peut se manifester par des symptômes tels que la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements et la constipation.
- Il est souvent provoqué par de minuscules lésions de la barrière intestinale, appelées microlésions, qui irritent le système nerveux entérique.
- Un grand test de produits révèle que 4 préparations sur 5 sont décevantes.
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Pourquoi le syndrome du côlon irritable n’est pas une nouvelle maladie ?
Le terme apparaît de plus en plus souvent sur Internet et dans les magazines de santé. Pourtant, ce que l’on désigne aujourd’hui par « syndrome du côlon irritable » est loin d’être un phénomène nouveau.
En effet, depuis des siècles déjà, de nombreuses personnes souffrent régulièrement de troubles intestinaux tels que diarrhées, douleurs abdominales et ballonnements. Mais pendant longtemps, cette désagréable combinaison de symptômes n’a pu être attribuée à aucune cause précise. Il y a quelques années encore, il s’agissait d’une véritable énigme pour les médecins.
Le syndrome du côlon irritable : une maladie aux multiples visages
Même Hippocrate, souvent considéré comme le « père de la médecine moderne », ne parvenait pas à en trouver l’origine. Il y a plus de 2 000 ans, il décrivait déjà le cas d’un patient souffrant de douleurs abdominales, de selles modifiées (diarrhée et constipation), de ballonnements et d’un besoin accru d’aller à la selle.
Depuis, des siècles se sont écoulés, au cours desquels la science a réussi des percées considérables dans la recherche des causes possibles du syndrome du côlon irritable. Depuis l’an 2000, on sait que de nombreux patients souffrant de troubles intestinaux récurrents ont un point commun : une barrière intestinale anormalement perméable.
Auf den ersten Blick nicht ersichtlich: Hinter Erschöpfungssymptomen kann auch eine Dysbiose stecken.
Ce phénomène est appelé leaky gut en anglais, pour ainsi dire « intestin troué ».
Il est toutefois important de faire la distinction suivante : la barrière intestinale, qui agit comme une sorte de porte entre l’intérieur de l’intestin et notre circulation sanguine, doit bien sûr être perméable aux nutriments.
Mais sa fonction est aussi d’empêcher les substances nocives de la traverser. Dans ce processus, l’épithélium intestinal joue un rôle essentiel. Celui-ci est constitué d’une seule couche de cellules étroitement liées entre elles par des jonctions serrées (appelées tight junctions en anglais).
Des études ont cependant montré que chez les personnes souffrant de troubles intestinaux récurrents, de minuscules lésions empêchent ces jonctions serrées d’être aussi étanches qu’elles devraient l’être à certains endroits.
Ces microlésions permettent aux agents pathogènes de pénétrer dans la paroi intestinale et d’irriter le système nerveux entérique qui se trouve derrière. Cette situation peut entraîner les troubles malheureusement trop familiers pour les personnes concernées, comme la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements ou la constipation.
Les causes possibles de la perméabilité intestinale
Les facteurs favorisant la perméabilité intestinale peuvent être tout aussi variés que les symptômes que sont la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements et la constipation. Les chercheurs estiment par exemple que le régime alimentaire typique des pays occidentaux, la prise de médicaments, les infections et surtout le stress sont responsables de cette situation.
Qu’est-ce que cela signifie pour les personnes concernées ? Les solutions évidentes et soi-disant faciles à mettre en œuvre, comme modifier son alimentation, sont rarement efficaces. Et le stress, si profondément ancré dans notre quotidien, est difficile à combattre.
Et même avec la connaissance de la perméabilité intestinale, le syndrome du côlon irritable continue souvent de représenter un défi pour les chercheurs et les médecins. Une situation particulièrement frustrante pour les patients, car il n’existe aucun test permettant de diagnostiquer clairement le syndrome du côlon irritable.
Ce n’est souvent qu’après des années passées à consulter divers spécialistes qu’ils reçoivent enfin, une fois les maladies similaires écartées, le diagnostic de « côlon irritable ».
Mythes et réalités sur le syndrome du côlon irritable
La complexité du syndrome du côlon irritable et ses causes restées longtemps mystérieuses ont conduit à l’émergence de toutes sortes de mythes, renforçant l’incertitude et la frustration chez les personnes concernées.
C’est pourquoi nous passons au crible les idées reçues les plus répandues.
Le 1er mythe :Le syndrome du côlon irritable se manifeste de la même manière chez tout le monde.
Essentiellement faux : Si la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements et la constipation sont des symptômes du syndrome du côlon irritable, toutes les personnes concernées ne souffrent pas pour autant des mêmes troubles.
Ainsi, la forme, la fréquence et aussi l’intensité des différents symptômes du côlon irritable peuvent varier énormément d’un patient à l’autre.
Lors du diagnostic, on distingue ainsi le syndrome du côlon irritable à diarrhée prédominante (les personnes concernées sont surtout confrontées à des diarrhées récurrentes), le syndrome du côlon irritable à constipation prédominante (les personnes concernées souffrent principalement de constipation) et le type dit mixte (alternance de diarrhée et de constipation). Il est cependant vrai que les spécialistes considèrent désormais que tous ces types ont une cause commune. Nous y reviendrons plus tard.
Le 2ème mythe : Mythe : Le côlon irritable, ce n’est pas si grave.
Plutôt faux : Comme expliqué précédemment, le type, la fréquence et l’intensité des symptômes du côlon irritable varient considérablement d’une personne à l’autre.
Mais une chose est sûre : des troubles intestinaux récurrents peuvent détériorer la qualité de vie des personnes concernées, même si cela ne se remarque pas forcément vu de l’extérieur. En effet, les personnes souffrant régulièrement de diarrhées, de douleurs abdominales, de ballonnements ou de constipation, en particulier lorsque ces troubles surviennent de manière imprévue, se retrouvent souvent fortement limitées dans leur quotidien.
Les personnes concernées se replient souvent sur elles-mêmes, parce que leurs problèmes les mettent mal à l’aise et qu’elles ne veulent pas que les autres s’en aperçoivent. Elles ne se sentent en sécurité que lorsque des toilettes sont immédiatement accessibles. Leurs possibilités de loisirs sont ainsi limitées et leur vie sociale en pâtit.
Le 3ème mythe : Le syndrome du côlon irritable est purement psychosomatique.
Faux : Cette idée reçue vient principalement du fait que la cause du syndrome du côlon irritable est restée longtemps inconnue. Les médecins ne savaient tout simplement pas à quoi attribuer ces troubles récurrents et l’image du « malade imaginaire » s’est répandue.
On sait aujourd’hui que les personnes souffrant du syndrome du côlon irritable sont plus souvent confrontées au stress et aux tensions émotionnelles que la moyenne, ce qui peut avoir une influence sur l’intestin. Toutefois, le stress psychologique ne peut pas être considéré comme la cause systématique ou unique du syndrome du côlon irritable.
D’une part, toutes les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable ne font pas état de problèmes psychiques, loin de là. D’autre part, n’oublions pas que le syndrome du côlon irritable, avec tous les symptômes qui l’accompagnent, est souvent lui-même source d’isolement social, de stress et autres.
Ces derniers points doivent donc être plutôt considérés comme les conséquences d’un côlon irritable que comme ses déclencheurs. Enfin, la recherche a récemment fait des découvertes intéressantes.
Des scientifiques travaillant sur ce que l’on appelle l’axe intestin-cerveau ont notamment pu établir un lien entre l’altération du microbiome intestinal (comme c’est le cas pour le syndrome du côlon irritable) et les problèmes psychiques !1
Le 4ème mythe : Le côlon irritable est lié à l’alimentation.
En partie vrai. Les scientifiques ont ainsi découvert que le régime alimentaire occidental classique, riche en acides gras saturés et en glucides à chaîne courte, favorisait l’apparition de la perméabilité intestinale.
Cela expliquerait pourquoi, dans les pays occidentaux notamment, de plus en plus de personnes souffrent de troubles intestinaux récurrents tels que les diarrhées, les douleurs abdominales et les ballonnements.
Cette approche est également suivie par le régime dit FODMAP, dans lequel les aliments contenant des substances fermentées cibles (glucides à fermentation rapide et alcools de sucre, rassemblés sous l’acronyme FODMAP) sont totalement supprimés du menu pendant un certain temps, puis réintégrés lentement et en petites quantités.
Néanmoins, il n’est pas possible d’en conclure qu’une alimentation saine suffit à elle seule à prévenir l’apparition de la perméabilité intestinale ou à la guérir. Une autre idée reçue attribue le syndrome du côlon irritable à une intolérance ou à une allergie alimentaire, mais elle est complètement fausse.
Si les symptômes de diverses allergies ou intolérances alimentaires peuvent ressembler à ceux du syndrome du côlon irritable, leur cause est différente. Alors que les allergies sont une réaction excessive du système immunitaire limitée à certains aliments ou groupes d’aliments ou à certains constituants alimentaires (comme le gluten ou le lactose), le syndrome du côlon irritable provient d’un trouble fonctionnel de l’intestin.
Qu’est-ce qui caractérise une préparation contre le côlon irritable et quels produits répondent à nos exigences ?
Lorsqu’elles cherchent de l’aide, les personnes souffrant du syndrome du côlon irritable se heurtent non seulement à bon nombre d‘idées reçues, mais sont également assaillies de publicités agressives vantant d’innombrables préparations de l’industrie pharmaceutique.
Ces publicités prétendent maîtriser le syndrome du côlon irritable à l’aide d’approches très différentes. Mais qu’en est-il vraiment ?
Nous avons étudié en détail les produits les plus répandus et avons également passé au crible le leader incontesté du marché, Kijimea Côlon Irritable PRO. Quel produit est véritablement le meilleur contre le syndrome du côlon irritable ? Ses concurrents, qui font l’objet d’une publicité massive sur Internet, sont-ils aussi efficaces ?
Pour répondre à cette question, nous avons identifié, en collaboration avec des spécialistes, les cinq critères de qualité les plus importants, et évalué les préparations les plus courantes en fonction de ces critères.
Critère de qualité no 1 : les preuves scientifiques
Le côlon irritable est une maladie intestinale complexe et chronique qui peut fortement impacter la qualité de vie des personnes concernées. L’efficacité des produits destinés à soulager les symptômes du côlon irritable devrait donc être scientifiquement prouvée.
Les études scientifiques permettent d’évaluer objectivement l’efficacité d’un produit et de déterminer s’il apporte réellement les bienfaits promis. La qualité d’un produit doit donc être impérativement corroborée par des connaissances scientifiques.
Critère de qualité no 2 : le soulagement de tous les symptômes du syndrome du côlon irritable
Le syndrome du côlon irritable est une affection complexe caractérisée par différents symptômes, dont la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements et la constipation.
De plus, l’intensité et la combinaison des symptômes varient d’un patient à l’autre. Il n’y a donc pas deux cas identiques. Ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour une autre. Un produit destiné à soulager un large éventail de symptômes du côlon irritable apporte donc une plus grande flexibilité.
En revanche, les préparations qui se concentrent uniquement sur certains symptômes sont inutiles pour une grande partie des personnes concernées ou n’abordent tout simplement pas le problème dans sa globalité et ne peuvent donc pas avoir d’effet positif durable sur la qualité de vie.
Enfin, il est important de s’attaquer aux causes. C’est la seule façon de traiter le syndrome du côlon irritable à la racine et d’aider les personnes concernées sur le long terme. De nombreuses préparations ne font que contenir les symptômes, qui reviennent ainsi après quelque temps. Le fond du problème est alors ignoré.
Critère de qualité no 3 : recommandations par des comités d’experts
Les preuves scientifiques, fondamentales pour un produit contre le syndrome du côlon irritable, constituent souvent la base des directives et recommandations médicales publiées par les sociétés savantes et les autorités sanitaires.
Les membres de ces groupes d’experts possèdent une vaste expérience leur permettant d’évaluer l’état des connaissances sur les fondements, le diagnostic et le traitement, et de les transposer en recommandations pratiques destinées à aider les médecins dans leur approche du syndrome du côlon irritable.2
En plus des sociétés savantes, l’élaboration de telles lignes directrices se fait souvent en collaboration avec différents spécialistes de la médecine et de la santé publique afin d’obtenir un large consensus au sein de la communauté médicale.
Cela contribue à ce que les recommandations soient considérées comme fiables.
Les produits soutenus par de telles recommandations bénéficient généralement d’une meilleure acceptation et d’une plus grande crédibilité auprès des professionnels de la santé et, finalement, auprès des consommateurs.
Critère de qualité no 4 : la facilité de prise
Le quotidien des personnes souffrant du syndrome du côlon irritable est souvent rythmé par leurs troubles intestinaux. La prise d’une préparation contre ces troubles ne devrait donc pas être perçue comme un fardeau supplémentaire. La facilité de prise est donc également importante pour une simple et bonne raison : un schéma de prise facile améliore la probabilité que les personnes concernées prennent le produit correctement et qu’il agisse conformément à sa finalité.
Avec une prise simple, les patients sont plus susceptibles de prendre le produit sur une longue période, ce qui est généralement nécessaire pour obtenir des résultats durables. Certains détails peuvent avoir leur importance : le produit doit-il être pris en fonction des repas ? Le dosage doit-il être déterminé par un médecin ? Quelle est la fréquence de prise ?
Critère de qualité no 5 : le type de produit
De nombreux consommateurs ne connaissent pas la différence entre les types de produits car elle n’impacte pas leur quotidien. Mais à y regarder de plus près, le type de produit peut très bien être un critère de qualité.
Les compléments alimentaires, par exemple, doivent, comme leur nom l’indique, compléter l’alimentation. Ils sont soumis à des exigences réglementaires moins strictes et ne nécessitent généralement pas d’études cliniques approfondies sur leur efficacité et leur sécurité.
Il en va tout autrement pour les dispositifs médicaux. Ils sont destinés à remplir, seuls ou en combinaison, des objectifs médicaux ciblés, tels que le traitement et/ou le soulagement de certaines maladies. Ils sont ainsi soumis à des dispositions réglementaires strictes imposées par les autorités. Par exemple, les dispositifs médicaux destinés au traitement du syndrome du côlon irritable doivent remplir leur objectif d’une manière scientifiquement démontrable.
Les denrées alimentaires destinées à des fins médicales spéciales, en abrégé DADFMS, constituent une catégorie à part. Ces produits sont spécifiquement destinés à gérer le régime alimentaire des personnes dont les besoins nutritionnels ne sont pas ou pas entièrement couverts par l’alimentation normale. La prise de DADFMS doit permettre de compenser ces manques de manière ciblée. Les exigences scientifiques sont donc moins élevées que pour les dispositifs médicaux. Il faut simplement prouver que le produit remplit les exigences nutritionnelles spécifiques indiquées.
En résumé, les dispositifs médicaux doivent fournir des preuves scientifiques quant à leur efficacité, contrairement aux compléments alimentaires et aux DADFMS.
Notre test des traitements contre le syndrome du côlon irritable
En fonction de ces critères, nous avons examiné cinqdes produits les plus courants et sommes parvenus aux résultats suivants :
Kijimea Côlon Irritable PRO
Avantages
Fabricant connu dans le milieu médical pour ses recherches et ses innovations.
Couvre tous les symptômes du syndrome du côlon irritable.
Efficacité soutenue par des études de référence et des recommandations de comités d’experts.
Végétalien, sans gluten et sans lactose.
Pas d’effets secondaires connus.
Inconvénients
Le fabricant est régulièrement confronté à des difficultés dedistribution à cause de la forte demande.
Les effets ne se font généralement sentir qu’après plusieurs jours de prise. Le fabricant recommande une prise d’au moins quatre semaines, de préférence douze.
Kijimea Côlon Irritable PRO est un dispositif médical spécialement conçu pour le traitement du syndrome du côlon irritable. Il se base sur une approche intéressante :
Les gélules contiennent la souche bactérienne B. Bifidum HI-MIMBb75 brevetée et inactivée par la chaleur qui se fixe tel un pansement sur la barrière intestinale endommagée.
Sous ce « pansement », la barrière intestinale peut guérir d’elle-même, permettant une atténuation des symptômes.
Kijimea Côlon Irritable PRO s’attaque ainsi à la cause du problème. Cette caractéristique se manifeste également dans l’étendue de son champ d’application, puisqu’il a été prouvé que ce produit aide à traiter tous les symptômes du syndrome du côlon irritable, à savoir la diarrhée, les douleurs abdominales, les ballonnements et la constipation.
Nous avons également été impressionnés par les preuves scientifiques soutenant le produit. Des études cliniques approfondies ont démontré que cette souche bactérienne, tant sous forme vivante que sous forme inactivée par la chaleur, permet de soulager l’ensemble des symptômes du syndrome du côlon irritable.
D’après nos recherches, l’étude sur la souche bactérienne HI-MIMBb75 inactivé par la chaleur est la plus grande étude connue consacrée à un produit en vente libre contre le côlon irritable.
Le fondement scientifique de ce produit est renforcé par la recommandation de la souche bactérienne dans la directive médicale S3 pour le traitement du syndrome du côlon irritable, notamment en ce qui concerne son efficacité démontrée pour tous les troubles du côlon irritable.3
Enfin, avec une petite gélule par jour pouvant être prise indépendamment des repas, le produit s’intègre facilement dans la vie quotidienne. Le leader du marché arrive ainsi largement en tête de notre test.
Ce qui nous a particulièrement frappés lors de nos recherches sur ce produit, ce sont les nombreuses évaluations extrêmement positives des clients, qui renforcent notre propre bonne impression du complément alimentaire, comme en témoignent les exemples suivants :
Pierre B.
« Excellent produit, efficace, qui me concernant, fonctionne rapidement, après seulement 3-4 jours, les symptômes ont disparu : plus de crampes, de gonflement, de dysfonctionnement intestinal… Je fais des cures annuelles et je recommande vivement ce produit pour contrer les inconvénients du colon irritable. »
Madeleine A.
« Ma fille va beaucoup mieux. Elle avait tellement mal au ventre avant qu’elle ratait même l’école. Ses crises étaient quotidiennes. Depuis le début du traitement il y a 10 jours elle revit. Espérons que cela dur dans le temps. »
Jeanne J.
« Très bon produit qui m’a aidée dès la première prise. Même en cas de questions sur la prise, le service client est absolument excellent. »
Kijimea PRO a convaincu sur toute la ligne et décroche ainsi la 1re place avec 100 points.
Le produit contient la souche bactérienne HI-MIMBb75, recommandée dans les directives médicales S3 pour le traitement du syndrome du côlon irritable.
Vegavero Colon Care Complex
Avantages
Les ingrédients ont fait l’objet de nombreuses recherches.
Sans gluten.
Inconvénients
L’efficacité prouvée scientifiquement ne concerne que la constipation.
Aucune souche spécifiée.
Les gélules du fabricant allemand Vegavero ont obtenu la deuxième place des notre test. Les preuves scientifiques sont ici à souligner. Des tests de référence ont été menés aussi bien pour le psyllium4 que pour le ferment lactique Lactobacillus acidophilus5. Nous avons toutefois attribué une déduction, car dans le cas du psyllium, seule une amélioration du symptôme de la constipation a pu être démontrée. De plus, le fabricant n’indique malheureusement pas quelle souche de Lactobacillus acidophilus le produit contient exactement. Il est donc difficile de savoir dans quelle mesure les résultats positifs de l’étude s’appliquent au produit.
Les recommandations de comités d’experts manquent également de clarté, car elles concernent spécifiquement la souche Lactobacillus acidophilus NCFM. La situation est cependant claire quant aux bienfaits du psyllium, mais uniquement pour la constipation. Les effets des gélules sur les autres symptômes que sont la diarrhée, les ballonnements et les douleurs abdominales restent à démontrer. La prise est quant à elle très flexible : il faut prendre deux gélules par jour, indépendamment des repas. Le Colon Care Complex de Vegavero est le seul complément alimentaire testé.
Le produit Colon Care Complex de Vegavero a obtenu la deuxième place grâce à des preuves scientifiques solides, notamment des tests de référence sur le psyllium et le Lactobacillus acidophilus. Il a cependant reçu une déduction en raison du manque de précision sur la souche probiotique utilisée et de l’efficacité limitée démontrée uniquement contre la constipation.
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Gelsectan
Avantages
Effet prébiotique supplémentaire.
Dispositif médical.
Inconvénients
Études disponibles uniquement pour le type de côlon irritable à diarrhée prédominante.
Prise peu flexible.
Gelsectan atteint la troisième place de notre test. Sa classification en tant que dispositif médical est un bon signe et atteste, comme pour le vainqueur du test, de standards scientifiques élevés. Il s’appuie sur une étude en double aveugle contrôlée contre placebo, mais elle ne concerne malheureusement que le type de côlon irritable à diarrhée prédominante. Le traitement par Gelsectan a certes montré des améliorations chez les participants à l’étude, mais il reste à vérifier dans quelle mesure ces résultats peuvent être appliqués à d’autres types de côlon irritable6.
La prise d’une gélule une à deux fois par jour est très simple, mais est dépendante des repas.
Gelsectan a obtenu la troisième place grâce à une étude clinique rigoureuse et à sa classification comme dispositif médical, bien que son efficacité n’ait été démontrée que pour le syndrome de l’intestin irritable à prédominance diarrhéique.
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Biocyte Colon Restore
Avantages
Mentionné dans la directive S3.
Études disponibles sur l’ingrédient.
Inconvénients
Doit être pris à jeun.
Amélioration démontrée uniquement pour certains symptômes et certains groupes de patients.
Colon Restore est le seul produit testé à contenir du butyrate de sodium. Une étude contrôlée contre placebo sur cet ingrédient a examiné son effet sur les personnes souffrant de côlon irritable de type D (diarrhée prédominante) et de type C (constipation prédominante). Alors que des améliorations significatives ont été constatées dans le domaine de la diarrhée, du gonflement abdominal et des ballonnements pour le type D, aucune amélioration significative n’a été observée pour le type C7.
Il n’est donc pas possible de formuler de recommandations pour l’ensemble des types de côlon irritable. En revanche, une autre étude a montré des améliorations au moins pour les douleurs liées à la défécation, tous types confondus8. Bien que nous n’ayons pas trouvé d’indications quant à une recommandation directe par les comités d’experts, la directive S3 mentionne l’agent actif sous « Autres nouvelles approches thérapeutiques alternatives »9.
Il faut prendre une à deux gélules par jour, de préférence à jeun. Il s’agit également d’un DADFMS, comme pour le produit arrivé en deuxième place.
Colon Restore atteint la quatrième place grâce à des données cliniques positives, notamment pour le côlon irritable de type D, et à la présence d’un ingrédient innovant, le butyrate de sodium. Cependant, l’absence d'efficacité démontrée pour le type C et le manque de recommandations claires des experts ont entraîné une note plus faible.
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Colilen IBS
Avantages
Aboca, l’entreprise derrière Colilen IBS, a obtenu la certification B Corp, qui garantit des normes élevées en matière d’engagement social et de protection de l’environnement.
Classification en tant que dispositif médical.
Inconvénients
La rédaction n’a pas connaissance d’études menées sur les différents symptômes du côlon irritable chez l’homme.
Il faut prendre six gélules par jour, au cours de trois repas.
Colilen IBS contient un complexe de molécules composé de résines, de polysaccharides et de polyphénols. Ce sont surtout ces derniers qui ont été jugés prometteurs dans le traitement du syndrome du côlon irritable10. La seule étude dont nous disposons sur l’effet de l’ensemble du produit sur les douleurs en cas de colite a cependant été réalisée sur des rats11. Nous ne pouvons donc pas évaluer dans quelle mesure les résultats (positifs) sont transposables à l’homme ou au tableau clinique du côlon irritable. Par conséquent, aucune recommandation n’a été émise par des comités d’experts. Enfin, il s’agit d’un dispositif médical, ce qui est un point positif.
Il faut prendre deux gélules trois fois par jour avant les repas. Le total de six gélules par jour est assez élevé par rapport aux autres produits.
Colilen IBS atteint le dernier place car il s’agit d’un dispositif médical et contient des substances potentiellement efficaces comme les polyphénols, mais son efficacité n’a jusqu’à présent été démontrée que dans une étude sur des rats, sans validation clinique ni recommandation d’experts.
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Notre conclusion :
Les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable savent malheureusement trop bien à quel point un intestin capricieux affecte la qualité de vie. Les fabricants de préparations contre le côlon irritable sont bien conscients du désespoir des patients à la recherche d’une amélioration de leur quotidien.
Notre test a montré que, malgré de grandes promesses publicitaires, la plupart des fabricants ne peuvent souvent répondre que de manière limitée aux besoins des consommateurs. Fait notable, il existe surtout différentes approches dans la lutte contre le syndrome du côlon irritable. Les consommateurs ont véritablement l’embarras du choix.
Pour les personnes concernées, il est donc impératif de bien réfléchir avant d’investir dans des produits manquant de fondement scientifique.
Notre conseil : Le leader du marché Kijimea Côlon Irritable PRO remporte notre test grâce à de nombreuses preuves scientifiques, un large spectre d’efficacité et une prise facile.
Commander le produit vainqueur du test
Kijimea Côlon Irritable PRO
1 Xiong R-G et al. The Role of Gut Microbiota in Anxiety, Depression, and Other Mental Disorders as Well as the Protective Effects of Dietary Components. Nutrients 2023 ; 15 : 3258
2,3,5,9 Layer P et al. (2021). Update S3-Leitlinie Reizdarmsyndrom: Definition, Pathophysiologie, Diagnostik und Therapie, Gemeinsame Leitlinie der Deutschen Gesellschaft für Gastroenterologie, Verdauungs- und Stoffwechselkrankheiten (DGVS) und der Deutschen Gesellschaft für Neurogastroenterologie und Motilität (DGNM). Z Gastroenterol 2021 ; 59 : 1323–1415.
4 Prior, A., & Whorwell, P. J. (1987). Double blind study of ispaghula in irritable bowel syndrome. Gut, 28(11), 1510–1513. doi:10.1136/gut.28.11.1510
5 Sadrin, Stéphane et al. “A 2-strain mixture of Lactobacillus acidophilus in the treatment of irritable bowel syndrome: A placebo-controlled randomized clinical trial.” Digestive and liver disease: official journal of the Italian Society of Gastroenterology and the Italian Association for the Study of the Liver vol. 52,5 (2020) : 534-540. doi:10.1016/j.dld.2019.12.009
6 Trifan, Anca et al. “Efficacy and safety of Gelsectan for diarrhoea-predominant irritable bowel syndrome: A randomised, crossover clinical trial.” United European gastroenterology journal vol. 7,8 (2019) : 1093-1101. doi:10.1177/2050640619862721
7 Scarpellini, Emidio et al. “Efficacy of butyrate in the treatment of diarrhoea-predominant irritable bowel syndrome.” Digestive and Liver Disease Supplements 1 (2007) : 19-22.
8 Banasiewicz, T et al. “Microencapsulated sodium butyrate reduces the frequency of abdominal pain in patients with irritable bowel syndrome.” Colorectal disease : the official journal of the Association of Coloproctology of Great Britain and Ireland vol. 15,2 (2013) : 204-9. doi:10.1111/j.1463-1318.2012.03152.x
10 Hagan, Marilyn et al. “(Poly)phenols in Inflammatory Bowel Disease and Irritable Bowel Syndrome: A Review.” Molecules (Basel, Switzerland) vol. 26,7 1843. 25 mar. 2021, doi:10.3390/molecules26071843
11 Parisio, Carmen et al. “Researching New Therapeutic Approaches for Abdominal Visceral Pain Treatment: Preclinical Effects of an Assembled System of Molecules of Vegetal Origin.” Nutrients vol. 12,1 22. 20 déc. 2019, doi:10.3390/nu12010022
Né en 1965 à Avignon, Adrien Dubois se passionne très tôt pour l'écriture en collaborant à divers journaux étudiants. Après ses études, il a suivi de nombreux séminaires et conférences sur le thème de la santé, ce qui lui a permis de combiner son métier de journaliste avec son intérêt pour la médecine. Adrien Dubois a écrit pour divers magazines spécialisés dans le domaine médical et de la santé.
En 2005, il rejoint l'équipe éditoriale de Conseils de Santé. Grâce à ses connaissances approfondies du secteur de la santé et à son talent pour communiquer de manière précise et compréhensible sur des sujets scientifiques, il gravit rapidement les échelons. En 2015, il est nommé rédacteur en chef.
Sous sa direction, Conseils de Santé publie de nombreux articles et dossiers destinés à un public spécialisé dans le domaine médical ainsi qu'au grand public. Son objectif : présenter des sujets médicaux complexes de manière compréhensible tout en relayant les dernières avancées de la recherche. Adrien Dubois est reconnu pour la rigueur de ses recherches et son engagement en faveur d'un journalisme de haute qualité.
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